MMÉSP commercialisés au Canada
Renseignements sur les produits — surveillance et épreuves de laboratoire requises*
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Nom commercial AUBAGIOMD1 AVONEX®2 BETASERON®3 COPAXONE®4 20 mg COPAXONE®4 40 mg GILENYAMD5 GLATECTMC6 KESIMPTAMC7 LEMTRADA®8 MAVENCLADMD9 OCREVUS®10 PLEGRIDY®11 REBIFMD12 TECFIDERAMC13 TYSABRI®14 ZEPOSIAMD15
Dénomination commune (classe thérapeutique) Tériflunomide (agent immunomodulateur) Interféron bêta-1a (immunomodulateur) Interféron bêta-1b (immunomodulateur) Acétate de glatiramère (immunomodulateur) Acétate de glatiramère (immunomodulateur) Chlorhydrate de fingolimod (modulateur des récepteurs de la sphingosine-1-phosphate) Acétate de glatiramère (immunomodulateur) Ofatumumab (Immunomodulateur sélectif) Alemtuzumab (immunomodulateur sélectif) Cladribine (immunomodulateur sélectif) Ocrelizumab (immunomodulateur sélectif) Peg-interféron bêta-1a (immunomodulateur) Interféron bêta-1a (immunomodulateur) Fumarate de diméthyle (autre médicament du système nerveux) Natalizumab (inhibiteur sélectif de la molécule d’adhésion) Ozanimod (Chlorhydrate d’ozanimod) (Modulateur des récepteurs de la sphingosine 1-phosphate)
Fabricant Sanofi Genzyme, une division de sanofi-aventis Canada Inc. Biogen Canada Inc. Bayer Inc. Teva Canada Teva Canada Novartis Pharmaceuticals Canada Inc. Pharmascience Inc. Novartis Pharmaceuticals Canada Inc. Sanofi Genzyme Canada, une division de Sanofi-aventis Canada Inc. EMD Serono, une division d’EMD Inc., Canada Hoffman-La Roche Limited Biogen Canada Inc. EMD Serono, une division d’EMD Inc., Canada. Biogen Canada Inc. Biogen Canada Inc. Celgene Inc
Formes posologiques et concentrations Comprimé : 14 mg Seringue préremplie et auto-injecteur : 30 μg/0,5 mL Flacon : 0,3 mg Seringues préremplies : 20 mg/1 mL Seringues préremplies : 40 mg/1 mL Capsule : 0,5 mg Seringue préremplie : 20 mg/1 mL Seringue préremplie : 20 mg/0,4mL
Stylo Sensoready* prérempli : 20 mg/0,4mL
* Les seringues préremplies ne sont pas offertes au Canada.
Flacon : 12 mg/1,2 mL Comprimé : 10 mg Flacon : 300 mg/10 mL Trousse de départ : seringues et auto-injecteurs préremplis renfermant 63 µg/0,5 mL ou 94 µg/0,5 mL
Seringue et auto-injecteur préremplis : 125 µg/0,5 mL
Cartouches pré-remplies : 22 μg/0,5 mL et 44 μg/0,5 mL
Cartouches pré-remplies : 66 μg/1,5 mL (permet d’administrer 3 doses de 22 μg/0,5 mL) et 132 μg/1,5 mL (permet d’administrer 3 doses de 44 μg/0,5 mL)
Capsules : 120 et 240 mg Flacon : 300 mg/15 mL Capsules : 0,23 mg, 0,46 mg et 0,92 mg
Voie d’administration Comprimés pour prise orale Injection intramusculaire (IM) Injection sous-cutanée (SC) Injection sous-cutanée (SC) Injection sous-cutanée (SC) Capsules pour prise orale Injection sous-cutanée (SC) Injection sous-cutanée (SC) Perfusion intraveineuse (IV) Comprimés pour prise orale Perfusion intraveineuse (IV) Injection sous-cutanée (SC) Injection sous-cutanée (SC) Gélules à libération retardée pour prise orale Perfusion intraveineuse (IV) Capsules pour prise orale
Fréquence 1 fois/jour 1 fois/sem. 1 fois/2 jours 1 fois/jour 3 fois/sem. à intervalles d’au moins 48 heures 1 fois/jour 1 fois/jour Dose initiale : 1 fois aux semaines 0, 1 et 2.
Dosage subséquent : 1 fois par mois à partir de la semaine 4.
Traitement initial : 5 jours consécutifs
2e traitement (administré 12 mois après la fin du traitement initial) : 3 jours consécutifs
1 fois/jour durant 4 ou 5 jours consécutifs au début des 2 premiers mois des 1ère et 2e années de traitement.
Un intervalle d’au moins 5 mois doit être respecté entre deux doses successives.
2e dose 2 sem. après la 1ère dose, puis 1 fois/6 mois
Un intervalle d’au moins 5 mois doit être respecté entre deux doses successives de OCREVUS.
1 fois/2 sem. 3 fois/sem. 2 fois/jour 1 fois/4 sem. 1 fois/jour
Dose recommandée et modification posologique SP rémittente : 14 mg/jour. SP rémittente : 30 μg/sem.
Peut être amorcé avec ¼ de la dose (≈7,5 μg). Ensuite, augmenter la dose d’environ 7,5 μg chaque semaine pendant les 3 prochaines semaines, jusqu’à l’atteinte de la pleine dose recommandée, soit de 30 μg/sem. Patients atteints de SP progressive rémittente ou de SP secondaire progressive qui présentent des poussées récurrentes de dysfonction neurologique peuvent bénéficier de l’augmentation de la dose jusqu’à 60 μg/sem.
Il est conseillé de prendre également un analgésique antipyrétique avant l’injection et pendant la période de 24 heures suivant l’injection pour aider à limiter les symptômes pseudogrippaux.
SP rémittente et progressive secondaire : 0,25 mg (8 MUI) tous les 2 jours.
Au cours de l’étude menée auprès de patients ayant présenté un seul épisode clinique évocateur de SP (SCI), la dose a été augmentée comme suit :
  • jours de traitement 1, 3 et 5 : 0,0625 mg (2 MIU)
  • jours de traitement 7, 9 et 11 : 0,125 mg (4 MIU)
  • jours de traitement 13, 15 et 17 : 0,1875 mg (6 MIU)
  • jours de traitement ≥ 19 : 0,250 mg (8 MIU)
Au cours de l’étude sur la SP progressive secondaire, les patients ont reçu ½ dose (4 MUI tous les 2 jours) pendant 2 semaines avant de passer à la dose recommandée de 8 MUI tous les 2 jours.
SP rémittente : 20 mg/mL : administrer 1 fois/jour. SP rémittente : 40 mg/mL administrer 3 fois/sem. à intervalles d’au moins 48 heures SP rémittente : 0,5 mg/jour. SP rémittente : 20 mg/jour. SP rémittente : dose initiale de 20 mg à la semaine 0, 1 et 2, suivi par un dosage de 20 mg par mois à partir de la semaine 4.
La première injection de KESIMPTA doit se faire sous la supervision d’un professionnel de la santé expérimenté.
SP rémittente : 12 mg/jour.
Traitement initial : 5 jours consécutifs (dose totale : 60 mg)
2e traitement (administré 12 mois après la fin du traitement initial) : 3 jours consécutifs (dose totale : 36 mg)
Les patients doivent recevoir une prémédication composée d’un corticostéroïde immédiatement avant de commencer la perfusion, et ce, pendant les 3 premiers jours de tout traitement afin de pallier les réactions liées à la perfusion.
Le prétraitement par antihistaminiques et/ou par antipyrétiques avant l’administration de l’alemtuzumab peut également être envisagé.
Les patients doivent prendre un médicament oral à titre de traitement prophylactique contre l’herpès dès le premier jour de traitement, et ce, pendant au moins 1 mois après la fin du traitement.
SP rémittente : 10 ou 20 mg selon le poids corporel. Dose cumulative recommandée de 3,5 mg/kg du poids corporel pendant deux ans (1,75 mg/kg/année). SP rémittente et SP primaire progressive : Dose initiale : perfusion intraveineuse de 300 mg suivie, 2 semaines plus tard, d’une deuxième perfusion de 30 mg.
Doses subséquentes : une seule perfusion intraveineuse de 600 mg tous les 6 mois.
Le patient doit être observer pendant au moins 1 heure après la fin de la perfusion.
Les patients doivent recevoir en prémédication 100 mg de méthylprednisolone (ou un corticostéroïde équivalent) en perfusion intraveineuse environ 30 minutes avant chaque perfusion et un antihistaminique environ 30 à 60 minutes avant chaque perfusion afin de réduire la fréquence et la sévérité des réactions liées à la perfusion.
SP rémittente : une 1ère dose de 63 µg (au jour 0), une 2e dose de 94 µg (au jour 14), une 3e injection à la pleine dose de 125 µg (au jour 28) et, par la suite, la pleine dose de 125 µg tous les 14 jours (2 semaines).
La dose d’amorce peut contribuer à atténuer les symptômes pseudogrippaux pouvant survenir au début du traitement par les interférons.
L’utilisation prophylactique et concomitante d’analgésiques et/ou d’antipyrétiques permettrait de prévenir ou d’atténuer les symptômes pseudogrippaux parfois associés à la prise d’interférons.
SP rémittente : 44 μg 3 fois/sem.
Cette dose peut être réduite à 22 μg 3 fois/sem. si le patient ne peut tolérer la dose plus élevée.
Épisode unique de démyélinisation : 44 μg 3 fois/sem.
Lorsqu’on amorce le traitement, il est recommandé d’administrer 20 % de la dose totale pendant les 2 premières semaines de traitement, 50 % de la dose totale pendant les semaines 3 et 4, et la dose entière à partir de la 5e semaine.
Avant l’injection, et dans les 24 heures qui suivent chaque injection, il est conseillé d’administrer un antalgique antipyrétique afin de soulager les symptômes pseudogrippaux.
SP rémittente : Dose initiale : 120 mg 2 fois/jour.
Dose régulière : après 7 jours, augmenter à 240 mg 2 fois/jour.
On peut revenir temporairement à la dose de 120 mg 2 fois/jour pour réduire la fréquence des bouffées vasomotrices et des effets secondaires gastro-intestinaux.
Lors d’une étude de 4 jours menée auprès de volontaires en bonne santé, l’administration de 325 mg d’AAS en comprimés non entérosolubles avant la prise du traitement a réduit la fréquence et la sévérité des bouffées vasomotrices.
L’utilisation de l’AAS à long terme pour maîtriser les bouffées vasomotrices n’a pas été étudiée et n’est donc pas recommandée.
SP rémittente : 300 mg en perfusion intraveineuse toutes les 4 semaines. SP rémittente : Dose initiale : 0,23 mg 1 fois/jour les jours 1 à 4 et 0,46 1 fois/jour les jours 5 à 7.
Dose d’entretien : 0,92 mg une fois/jour à partir du jour 8 et les suivants.
Surveillance de routine et épreuves de laboratoire                                
Avant initiation           Avant d’amorcer un traitement par GILENYA, il faut procéder aux évaluations suivantes :
  • Réaliser un ECG et mesurer la pression artérielle.
  • Vérifier la formule sanguine complète avant d’amorcer le traitement si aucun résultat récent (c’est-à-dire au cours des 6 derniers mois ou depuis l’arrêt du traitement antérieur) n’est disponible.
  • Demander un dosage des taux de transaminases et de bilirubine avant d’amorcer un traitement par GILENYA si on ne dispose pas de résultats récents (moins de 6 mois).
  • Déterminer le statut de vaccination contre le VVZ.
  • Déterminer le statut de vaccination contre le VPH.
  • Déterminer le statut d’immunisation général pour les patients pédiatriques (10 à < 18 ans) avant d’entamer le traitement.
  • Un test de grossesse négatif est exigé avant l’instauration du traitement chez les femmes aptes à procréer.
  • Vérifier la présence de lésions cutanées suspectes, surtout chez les patients présentant des facteurs de risque de cancer de la peau.
  Avant d’entreprendre un traitement par KESIMPTA, réaliser une épreuve de dépistage du virus de l’hépatite B (VHB).
Procéder à un dosage sérique des immunoglobulines.
Avant d’instaurer le traitement par LEMTRADA , les épreuves de laboratoire sont recommandées :
  • Évaluer la présence d’une infection tuberculeuse, tant en phase active qu’inactive « latente ».
  • Il faut examiner tous les patients pour VHB ou VHC.
  • Les patientes sexuellement actives devraient subir un dépistage annuel de PVH.
  • Tests de la fonction thyroïdienne.
  • IRM
  • La vaccination doit être terminée depuis au moins 6 semaines avant le début du traitement.
  • Dépistage VVZ.
  • Dosage des taux sériques de transaminases (ALAT et ASAT) et de la bilirubine totale.
  • Effectuer un ECG.
  • Effectuer un hémogramme et formule leucocytaire avec différentiel.
  • Dosage des taux sériques de transaminases (ALAT, ASAT) et de la bilirubine totale.
  • Mesure des taux de créatinine sérique.
  • Analyse d’urine avec examen au microscope.
Les évaluations suivantes doivent être effectuées avant d’instaurer le traitement par MAVENCLAD :
  • Il faut vérifier la formule sanguine complète (FSC), y compris la numération des lymphocytes (c.-à-d. obtenus dans les 6 mois précédents ou après l’arrêt du traitement précédent) ne sont pas disponibles.
    • Dépistage de la tuberculose (active et latente).
    • Il faut examiner tous les patients pour VHB ou VHC.
    • Vérifier la présence d’anticorps contre le virus varicelle-zona.
  • La vaccination doit être terminée depuis au moins 6 semaines avant le début du traitement.
  • Les numérations lymphocytaires doivent être mesurées avant l’instauration de MAVENCLAD dans l’année 1, et avant l’instauration de MAVENCLAD dans l’année 2.
  • Les taux sériques d’aminotransférase, de phosphatase alcaline et de bilirubine totale de tous les patients doivent être évalués avant l’instauration du traitement à l’année 1 et à l’année 2.
  • Il faut écarter une grossesse
Effectuer un dépistage du VHB chez tous les patients avant l’instauration du traitement par OCREVUS.
La vaccination doit être terminée depuis au moins 6 semaines avant le début du traitement.
Surveiller l’hémogramme, une formule leucocytaire, une numération plaquettaire et une évaluation de la chimie sanguine, ainsi que des épreuves de fonction hépatique.
Chez les patients montrant des signes de myélosuppression, la surveillance de l'hémogramme, de la formule leucocytaire et de la numération plaquettaire peut devoir être plus intensive.
Avant d’instaurer le traitement par REBIF, les épreuves suivantes sont recommandées :
  • Surveiller Les enzymes hépatiques.
  • Vérifier la formule sanguine complète comprenant une analyse différentielle des globules blancs et la numération plaquettaire.
  • Effectuer des tests de la fonction thyroïdienne.
Avant d’instaurer le traitement par TECFIDERA, les épreuves suivantes sont recommandées :
  • Obtenir la formule sanguine complète (FSC) du patient, y compris la numération lymphocytaire (bilan effectué il y a 6 mois ou moins).
  • Vérifier les transaminases hépatiques (obtenus dans les 6 mois précédent).
  • Effectuer une analyse d’urine.
Avant d’entreprendre le traitement par TYSABRI, il faut posséder un récent cliché d’imagerie par résonance magnétique (IRM).
Surveiller les enzymes hépatiques, transaminases et bilirubine totale.
Vérifier la concentration sérique d’anticorps anti-VJC avant d’instaurer le traitement par TYSABRI ou chez les patients n’ayant pas fait l’objet d’une analyse d’anticorps.
Avant d’amorcer le traitement par ZEPOSIA, les évaluations suivantes doivent être faites :
  • Examiner un hémogramme récent (obtenu au cours des 6 derniers mois).
  • Vérifier le statut des anticorps contre le virus varicelle-zona (VVZ).
  • Une vaccination contre le virus du papillome humain (VPH) devrait être envisagée avant l’instauration du traitement par ZEPOSIA.
  • Obtenir un (ECG)
  • Obtenir des valeurs récentes (mesurées dans les 6 derniers mois) de la fonction hépatique, y compris les taux de transaminases et de bilirubine hépatiques.
  • Un test de grossesse négatif doit être obtenu.
  • Une évaluation ophtalmique est recommandée chez les patients atteints de diabète sucré ou d’uvéite ou ayant des antécédents de troubles de la rétine.
Surveillance à la 1ère dose           Réaliser un ECG et mesurer la tension artérielle avant et 6 heures après l’administration de la première dose. Surveillance par ECG en continu si cela est cliniquement indiqué.     Effectuer un ECG et l’évaluer avant chaque traitement. Il est conseillé de surveiller étroitement les patients à la clinique pendant au moins 2 heures après chaque perfusion, ou plus longtemps si le médecin le juge nécessaire.             Obtenir un ECG avant la prise de la dose et à la fin de la période d’observation de 6 heures.
Surveillance par ECG avec des mesures du pouls et de la tension artérielle en continu si cela est cliniquement indiqué.
Surveillance en continu si cela est cliniquement indiqué.
Analyses sanguines générales - formule sanguine complète (FSC) Il faut obtenir une FSC complète dans les 6 mois précédant le début du traitement.
Surveillance plus intensive si cela est cliniquement indiqué.
FSC comprenant une formule leucocytaire, une numération plaquettaire et une évaluation de la chimie sanguine : au départ, aux mois 1, 3 et 6, et tous les 6 mois par la suite.
Surveillance de l’hémogramme, de la formule leucocytaire et de la numération plaquettaire plus intensive si le bilan est cliniquement indiqué.
Hémogramme comprenant une formule leucocytaire et une numération plaquettaire, ainsi qu’une évaluation de la chimie sanguine : avant le début du traitement et périodiquement par la suite.
Surveillance de la FSC plus intensive, avec formule leucocytaire et numération plaquettaire si le bilan est cliniquement indiqué.
    Vérifier la formule sanguine complète avant d’amorcer le traitement si aucun résultat récent (c’est-à-dire au cours des 6 derniers mois ou depuis l’arrêt du traitement antérieur) n’est disponible.     Les taux de créatinine sérique doivent être contrôlés avant de commencer le traitement, puis tous les mois par la suite jusqu’à 48 mois après la dernière perfusion et à tout moment par après, si cliniquement indiqué.
Il faut effectuer un hémogramme et une formule leucocytaire avant de commencer le traitement, puis tous les mois par la suite jusqu’à 48 mois après la dernière perfusion. Une FSC doit immédiatement être obtenue si cliniquement indiqué.
FSC, avec formule leucocytaire, avant d’amorcer le traitement si aucun résultat récent (c’est-à-dire, au cours des 6 derniers mois ou depuis l’arrêt du traitement antérieur) n’est disponible
Les numérations lymphocytaires doivent être normales avant l’instauration de MAVENCLAD dans l’année 1, avant l’instauration de MAVENCLAD dans l’année 2, puis sur une base périodique entre les traitements et par la suite.
Une surveillance plus intensive est recommandée si cela est cliniquement nécessaire.
  L’obtention de la formule leucocytaire, de la numération plaquettaire et de l’évaluation de la chimie sanguine est recommandée tout au long du traitement.
Surveillance plus intensive de la FSC, avec formule leucocytaire et numération plaquettaire, si cela est cliniquement indiqué.
Chez les patients montrant des signes de myélosuppression, la surveillance de l'hémogramme, de la formule leucocytaire et de la numération plaquettaire peut devoir être plus intensive.
FSC comprenant une formule leucocytaire et une numération plaquettaire : au départ, aux mois 1, 3 et 6, et tous les 6 mois par la suite. Il faut obtenir la FSC, y compris la numération lymphocytaire, en l’absence d’un bilan sanguin récent (effectué dans les derniers 6 mois). Il est recommandé d’obtenir la FSC à nouveau, y compris la numération lymphocytaire, après 6 mois de traitement, puis tous les 6 à 12 mois par la suite, et si le bilan est cliniquement indiqué.   Examiner un hémogramme récent (c’est-à-dire obtenu au cours des 6 derniers mois ou suivant l’arrêt d’un traitement antérieur contre la SEP), y compris le nombre de lymphocytes, avant l’instauration du traitement par ZEPOSIA.
Surveillance périodique par hémogramme doit également être effectuée.
Épreuves de la fonction thyroïdienne   Au départ et tous les 6 mois par la suite. Au départ et, si une anomalie est détectée, tous les 6 à 12 mois après le début du traitement ou lorsque cela est cliniquement indiqué.           Il faut effectuer des tests de la fonction thyroïdienne, comme les taux de thyréostimuline, avant de commencer le traitement, puis tous les 3 mois par la suite jusqu’à 48 mois après la dernière perfusion. On doit effectuer ces tests si cela est cliniquement indiqué à tout moment pendant ou après le traitement.     L'exploration de la fonction thyroïdienne doit être réalisée conformément aux normes médicales actuelles. Au départ et tous les 6 mois, ou plus fréquemment si cela est cliniquement indiqué.      
Tension artérielle (TA) Mesurer la TA avant le début du traitement et périodiquement par la suite.         Mesurer la TA avant et 6 heures après l’administration de la première dose. Une surveillance régulière doit être effectuée par la suite.     Effectuer une surveillance continue/fréquente (au moins toutes les heures) de la fréquence cardiaque, de la tension artérielle et de l’état clinique global du patient.             Mesurer régulièrement la tension artérielle pendant le traitement et géré de façon approprié.
Examen et surveillance de la fonction cardiaque     Un ECG doit être effectué avant le début du traitement.     Réaliser un ECG avant et 6 heures après l’administration de la première dose.
Mesurer le pouls et la tension artérielle toutes les heures durant au moins 6 heures après l’administration de la première dose.
Surveillance par ECG en continu si cela est cliniquement indiqué.
    Il faut effectuer un ECG et l’évaluer avant chaque traitement.             Obtenir un ECG avant la prise de la dose et à la fin de la période d’observation de 6 heures.
Surveillance par ECG avec des mesures du pouls et de la tension artérielle en continu si cela est cliniquement indiqué.
Surveillance en continu si cela est cliniquement indiqué.
Évaluation et surveillance de la fonction pulmonaire Avant de commencer le traitement, procéder à un dépistage de la tuberculose latente chez les patients.   Une radiographie thoracique doit être effectuée avant le début du traitement.     Une évaluation de la fonction respiratoire par spirométrie ainsi qu’une mesure de la DLCO doivent être réalisées au cours du traitement par GILENYA, selon les besoins cliniques.     Tous les patients doivent subir un dépistage de l’infection tuberculeuse, tant active qu’inactive (« latente ») avant l’instauration du traitement. Tous les patients doivent subir un dépistage de l’infection tuberculeuse, tant active qu’inactive (« latente »).            
Examen ophtalmique           Un examen ophtalmique doit être effectué de 3 à 4 mois après le début du traitement ou fréquemment si cela est cliniquement indiqué.                   Une évaluation ophtalmique est recommandée avant et pendant le traitement.
Épreuves des anticorps IgG           Effectuer le dépistage VVZ avant d’amorcer le traitement.   Avant d’amorcer un traitement par KESIMPTA, il faut procéder à un dosage sérique des immunoglobulines. Effectuer le dépistage VVZ avant d’amorcer le traitement. Effectuer le dépistage VVZ avant d’amorcer le traitement.           Effectuer le dépistage VVZ avant d’amorcer le traitement.
Vaccination           Effectuer le dépistage VPH avant d’amorcer le traitement.
Déterminer le statut d’immunisation général pour les patients pédiatriques (10 à < 18 ans) avant d’entamer le traitement.
  Déterminer le statut d’immunisation général. Confirmation de vaccinations conformes aux exigences locales au moins 6 semaines avant le début du traitement. Confirmation de vaccinations conformes aux exigences locales au moins 6 semaines avant le début du traitement. Confirmation de vaccinations conformes aux exigences locales au moins 6 semaines avant le début du traitement.         Une vaccination contre le virus du papillome humain (VPH) devrait être envisagée avant le début du traitement.
Épreuves des anticorps anti-VJC                             Vérifier la concentration sérique d’anticorps anti-VJC (à l’aide du test biologique STRATIFY JCVMC) avant d’instaurer un traitement par TYSABRI ou chez les patients sous TYSABRI n’ayant pas fait l’objet d’une analyse d’anticorps. De plus, il est recommandé de vérifier la concentration d’anticorps anti-VJC chez les patients séronégatifs et chez les patients séropositifs qui ont un index d’anticorps plus faible, car le statut sérologique ou l’index peuvent changer.
On recommande également de faire repasser le test tous les mois aux patients séronégatifs. Ce test doit être effectué périodiquement pour les patients qui n’ont pas pris d’immunosuppresseurs au préalable (p. ex., tous les 6 mois).
 
Examen d’imagerie par résonance magnétique (IRM)           Il faut disposer d’un récent cliché d’IRM avant d’amorcer le traitement.
Une surveillance en continue si cliniquement nécessaire.
    Effectuer une IRM au début du traitement.
Une surveillance en continue si cliniquement nécessaire
Lors de la transition vers un autre agent SP, une IRM de départ est recommandée. Effectuer une IRM lorsque cela est cliniquement indiqué.       Il faut disposer d’un récent cliché d’IRM avant d’amorcer le traitement. Une surveillance plus fréquente (à intervalles de 3 à 6 mois) est à envisager si cela est cliniquement indiqué.  
SIRI (syndrome inflammatoire de restauration immunitaire)                             Surveiller l’apparition de SIRI et entreprendre le traitement approprié de la réaction inflammatoire associée touchant le cerveau.  
Épreuves enzymatiques et de la fonction hépatique Mesurer les taux de transaminases et de bilirubine dans les 6 mois qui précèdent le début du traitement.
Une surveillance des taux d’ALAT doit être effectuée au moins tous les mois pour les 6 premiers mois suivant le début du traitement.
Au départ, puis tous les mois pendant les 6 premiers mois et tous les 6 mois par la suite.
Si le niveau d’ALAT est >5 fois la LSN, envisager la modification de la dose.
Au départ, puis tous les mois pendant les 6 premiers mois et à intervalles de 6 mois par la suite.
Si le niveau d’ALAT est >5 fois la LSN, envisager la modification de la dose.
Les transaminases hépatiques doivent être vérifiées avant (dans les 6 mois) le début du traitement par COPAXONE.
On recommande également de les surveiller en cours de traitement, si la situation clinique le justifie.
Les transaminases hépatiques doivent être vérifiées avant (dans les 6 mois) le début du traitement par COPAXONE.
On recommande également de les surveiller en cours de traitement, si la situation clinique le justifie.
Procéder à un dosage des enzymes hépatiques chez tous les patients dans les 6 mois qui précèdent l’amorce du traitement.
En cours de traitement, une évaluation des taux d’enzymes hépatiques doit être réalisée après 1, 3, 6, 9 et 12 mois de traitement, puis à intervalles réguliers par la suite, jusqu’à 2 mois après l’arrêt du traitement par GILENYA.
Si les taux de transaminases sériques sont > 5 fois la LSN, la surveillance des enzymes hépatiques doit être effectuée plus fréquemment et doit comprendre le dosage des taux sériques de bilirubine et de phosphatases alcalines.
Si des analyses répétées confirment des taux de transaminases hépatiques > 5 fois la LSN, le traitement doit être interrompu et ne pourra être repris qu’une fois les taux de transaminases hépatiques revenus à la normale.
  Avant d’entreprendre un traitement par KESIMPTA, réaliser une épreuve de dépistage du virus de l’hépatite B (VHB). Il faut examiner tous les patients pour vérifier si aucun n’est atteint du VHB ou du VHC.
Il faut envisager le dépistage des patients à risque élevé d’infection à VHB ou à VHC avant l’instauration du traitement. La prudence est de rigueur lorsqu’on prescrit ce médicament aux patients qui ont été identifiés comme porteurs du VHB ou du VHC, car ceux-ci pourraient présenter un risque de lésion hépatique s’il se produisait une réactivation du virus suite à leur état de santé préexistant.
Les taux sériques d’aminotransférase, de phosphatase alcaline et de bilirubine totale de tous les patients doivent être évalués avant l’instauration du traitement à l’année 1 et à l’année 2.
Tous les patients doivent être dépistés pour les virus de l’hépatite B et C (VHB et VHC).
Il faut examiner tous les patients pour vérifier si aucun n’est atteint du VHB ou du VHC. Les patients atteints du VHB ne doivent pas être traités par OCREVUS. On recommande d’effectuer des épreuves de fonction hépatique, pendant le traitement. Au départ, puis tous les mois pendant les 6 premiers mois et tous les 6 mois par la suite. Si le niveau d’ALAT est >5 fois la LSN, envisager la modification de la dose. Il est conseillé de vérifier les transaminases hépatiques dans les 6 mois qui précèdent l’amorce du traitement.
Il est recommandé de revérifier les transaminases après 6 mois de traitement, puis tous les 6 à 12 mois pendant le traitement, et si l’analyse est cliniquement indiquée.
Surveiller les taux d’enzymes hépatiques, les transaminases et la biribuline totale avant d’amorcer le traitement, puis durant et après le traitement si cela est cliniquement indiqué. Obtenir des valeurs récentes (mesurées dans les 6 derniers mois) de la fonction hépatique, y compris les taux de transaminases et de bilirubine hépatiques.
Les taux des transaminases hépatiques et de bilirubine doivent être évalués au cours des 3 premiers mois du traitement, puis périodiquement ou lorsque cela est cliniquement justifié par la suite.
En présence de taux de transaminases hépatiques >5 fois la LSN, une surveillance plus fréquente devrait être mise en place, y compris des mesures de la bilirubine et de la phosphatase alcaline sériques.
Surveiller les signes et symptômes de lésion hépatique.
Infection                 Les patientes sexuellement actives devraient subir un dépistage annuel de PVH.             Surveiller régulièrement les signes et symptômes d’infections pendant le traitement.
Peau           Avant d’entreprendre un traitement par GILENYA, il faut vérifier la présence de lésions cutanées suspectes.     Un examen de la peau doit être réalisé au début du traitement et annuellement par la suite.             Surveiller régulièrement les lésions cutanées suspectes pendant le traitement par ZEPOSIA.
Analyse d’urine                 Une analyse d’urine comprenant la numération globulaire doit être effectuée avant le début du traitement, puis tous les mois par la suite jusqu’à 48 mois après la dernière perfusion, et à tout moment par la suite ou à des intervalles plus rapprochés si cela est cliniquement indiqué.         L’analyse d’urine doit être effectuée avant l’instauration du traitement, 6 mois après l’instauration du traitement, puis tous les 6 à 12 mois ou lorsque cela est cliniquement indiqué.    
Test de grossesse Il faut obtenir un test de grossesse négatif avant le début du traitement.   Un test de grossesse doit être effectué avant le début du traitement.     Un test de grossesse négatif est exigé avant l’instauration du traitement.       La possibilité d’une grossesse doit être exclue durant les 2 premières années du traitement.           Toute grossesse doit être exclue avant le début du traitement et un test de grossesse négatif doit être obtenu.
Programme de soutien à l’intention des patients SP en tandemMD
1 855 671-2663
Biogen UNIMC
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Betaplus®
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Solutions Partagées®
1 800 283-0034
Solutions Partagées®
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Programme GoMC de GilenyaMD
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Programme Ally
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Programme GOMC de KesimptaMC
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SP en tandemMD
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COMPASSMC
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Biogen UNIMC
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Biogen UNIMC
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soi. Votre programme de soutien aux patients pour Zeposia
1 833 951-2478
ALP : phosphatases alcalines; ALAT : alanine aminotransférase; AAS : acide acétylsalicylique; TA : tension artérielle; SCI : syndrome clinique isolé; ECG : électrocardiogramme; GI : gastro-intestinal; VHB : virus de l'hépatite B; VHC : virus de l'hépatite C; VPH  : virus du papillomavirus humain; IgG : immunoglobuline G; IM : Intramusculaire; IV : intraveineux; MIU : million d’unités internationales; SP : sclérose en plaques; SC : sous-cutané; VVZ : virus varicelle-zona

* Les données proviennent des monographies des produits mentionnés. La portée clinique de ces données n’a pas été prouvée. Veuillez consulter les monographies respectives pour obtenir des renseignements complets concernant les mises en garde et les recommandations relatives aux épreuves de laboratoire.